LE LOZ POT’FEST #3
FLORAC , Lozère – Fête & manifestation
À propos
en début soirée ce sont les chansons/ Reggae / blues de Radio Gab qui vous accompagneront
à partir de 21h00 ce sont les marseillais de Café Noailles que l’on retrouvera sur scène avec leur rock algérien
enfin Nous aurons le plaisir d’accueillir La Cafetera Roja !
La Cafetera Roja (Hip -Hop , Pop Rock, Barcelone/ France/Allemagne )
https://www.lacafeteraroja.com/fr/
Pour beaucoup, les premières années de « La Cafetera Roja », c’était « L’auberge espagnole », le film de Klapisch sorti en 2002, porté par la magnifique B.O de l’ancien programmateur de Nova, Loic Dury, un collectif hip hop, rock festif, bêtes de scène, bouffeurs de planches, créateurs d’un “Eurorap” vitaminé de guitares et de batterie. Une famille qui se choisit à l’oreille, à Barcelone, en 2008, multigénérationnels, mixtes, autodidactes, un cercle étoilé sur un champ d’azur, un groupe européen.
Aurélia Campione (Chant/Guitare), Anton Dirnberger (MC/ Claviers), François Gonnet (Guitare/Chœurs), Fiti Rodriguez (Chant/Basse/Chœurs), Jean Michel Mota (Violoncelle/Chœurs) et Pierre Jean Savin (batterie/Chœurs) un combo prolifique avec déjà 4 albums et aujourd’hui, pour la première fois, un album tricoté à distance mais finalisé en studio.
Un an de travail chacun chez soi, pour ce cinquième disque “Mozaik”
La Cafetera Roja, c’est le refus des étiquettes, ils ne sont pas rock, pas trip hop, pas reggae, pas chanson, pas jazz, pas latino, leur gloubiboulga, c’est le temps qui l’a mijoté, la “sono mondiale” s’y est invitée, leur langage, ils se le sont inventé. Ils sont aujourd’hui, “hip hop – world“, tout autant que “rock-électro ». En quittant Barcelone, leur espagnol se transforme, se mélange au français, à l’allemand, l’anglais, ils fabriquent leur propre esperanto, leur son transpire la joie du jouer ensemble.
Aujourd’hui, La Cafetera Roja, n’est plus l’auberge espagnole, elle est « L’Incroyable Histoire de l’île de la Rose », un nouveau chapitre dans l’histoire du groupe, l’utopie de 1968, de Giorgio Rosa, une plateforme de 400 m² dans les eaux internationales, que l’ingénieur italien fit reconnaître comme un Etat indépendant. Leur île pour ce disque est virtuelle, la batterie devient percussion, puis séquence, puis de nouveau rythmique, oscille au gré du vent de l’organique à l’électronique.
Ouverture
- Le samedi 5 juillet 2025
Tarifs
- À partir de 12€ / libellé non trouvé (code inconnu (dejo))
Localisation